Le Club Vosgien de Colmar vous propose une randonnée, le mercredi 20 juillet 2022, au départ du parking du col du Calvaire.

• Itinéraire : CALVAIRE – LAC BLANC – LAC NOIR – LAC des TRUITES – LAC VERT et retour par DREIECK –SOULTZEREN ECK
• Distance de la randonnée : 18 km
• Dénivelé : 550 m
• Durée de marche : 6h30 environ
• Difficulté moyenne : 3 sur 5

- Equipements : chaussures et bâtons de randonnée, vêtements adaptés à la saison.

- Repas tiré du sac

- Retour à Colmar vers 17h30

Rendez-vous au parking du Capitaine Dreyfus à Colmar pour un départ en covoiturage à 8 h 30. (port du masque obligatoire en covoiturage).

Guide : WISS Pierre (06 89 37 34 17)

En raison de la canicule annoncée,

la marche nordique de demain, lundi 18 juillet

est annulée

Vous l'avez certainement déjà croisé dans les rues de notre ville devant son chevalet en train de dessiner un détail de la collégiale, une maison à colombage ou un parterre fleuri.

Cette affiche sera reproduite dans différents formats, A2, A3, A4. pour être distribuée partout où c'est possible.

Notre randonnée débute à Aspach-le-Haut, près de l'étang. Nous entrons très vite dans la forêt et cheminons sur un large chemin qui mine de rien monte régulièrement. Puis nous continuons à travers prés et champs vers la ferme de Rammersmatt sur le sentier botanique. Nous profitons à cette heure-ci d'une superbe vue sur la chaîne des Alpes. Petite halte sous un arbre, à côté d'un crucifix, dont à la base se trouvent 3 plaques commémoratives de la Seconde Guerre Mondiale.
Le sentier botanique que nous suivons, est assis tout entier à l'est de la grand faille vosgienne qui suit approximativement la route départementale conduisant à Bourbach-le-Bas. Sur ces terres au biotope riche et varié sont élevées des vaches de la race Salers qui ont retrouvées ici un environnement auquel les a habituées leur région d'origine, le Massif Central.
Nous prenons la direction de Bourbach-le-Bas pour notre repas, à travers une forêt de feuillus sur un sentier en descente. La commune est située au pied du Rossberg, dans un un vallon entre la Thur et la Doller. Le village est mentionné pour la première fois en 1347, il faisait alors partie de la seigneurie de Masevaux.
L'après-midi nous remontons le village, par un chemin à découvert, sous une bonne chaleur, heureux de terminer notre randonnée vers le barrage de Michelbach à travers bois.
C'est un barrage artificiel construit à partir de 1979 et mis en service en octobre 1982. Son intérêt est de capter de l'eau issue de la Doller afin de réguler l'alimentation de la nappe phréatique dans laquelle l'agglomération mulhousienne puise son eau potable.

Un grand merci à nos deux guides du jour, Jean-Paul et Pierre.

31 participants, 14 km, dénivelé : 253 m

Texte et photos : Suzy

J-72 : Pour éviter les bouchons dans la forêt du Neuland

Tout le monde ne viendra pas à vélo…

Comme vous avez pu le voir dans un article précédent, nous allons inciter nos visiteurs à nous rejoindre à vélo. Nous espérons avoir du succès avec cette initiative mais tout le monde ne voudra pas ou ne pourra pas suivre notre recommandation.

Nous avons prévu le flux des voitures ainsi que leur stationnement sur le site de manière sécurisée et optimisée en place.

Tout cela ne se fera évidemment pas sans encadrement par nos bénévoles même si la police municipale nous prêtera main forte. Il faudra mettre en place le circuit en posant des barrières, guider les automobilistes vers les places libres, sécuriser le passage aux croisements du  parcours sportif, nettoyer et ranger le site…

Pas besoin d’être policier ni ancien gendarme. Nous ne fournirons pas d’uniforme aux volontaires mais un gilet fluorescent.

Comme pour tous les postes nous souhaitons créer plusieurs équipes qui se relaieront pendant la journée.

Alors n’hésitez pas. Prenez contact avec p.meyer@vialis.net qui vous inscrira et fournira les détails de votre mission.

Rejoignez-nous… merci d’avance.

A suivre…..

                                                           Le comité d’organisation.

12 personnes ont participé à cette randonnée. Un grand merci.

Petite introduction sur notre rando:

        - Le lieu - la mine d’argent et son histoire.

- La commune de Moosch : superficie, densité, altitudes de la commune,  le Rossberg et  le massif du Rossberg ; les grandes lignes de son histoire : l’ex-voto, la nécropole nationale, ses armoiries, l’industrie  textile dans la vallée de la Thur.

-  La légende du «Bubalafels» : roche aux bébés,  dont la roche d’origine volcanique qu’on appelle «les grauwackes» a été formée dès l’ère primaire  il y a  350-340 millions d’années), dans le carbonifère, tout comme le Rossberg, le Vogelstein et la forêt des volcans.

Deux balises chevaucheront notre circuit :

----celle du cingle plongeur : un passereau de 18cm qui vit près des cours d’eau pour se nourrir en plongeant. On l’appelle aussi le merle d’eau.

----celle du circuit des 4 collines : dont l’une contient l’ex-voto.

Nous débutons notre randonnée et arrivons de suite à la cascade. Il fait frais depuis le début. Petite arrêt au-dessus pour une photo.  A côté « la prairie aux abeilles», parcelle déboisée pour avoir plus de lumière,  des plantes mellifères y ont été semées.

On monte sous les bois, dans la forêt, jusqu’à l’abri du Blaufels. Très bel abri du CCV de Thann. Il y fait  très bon. C’est la pause. On observe toute la vallée de Thann, le grand ballon à gauche qui nous suivra tout au long de notre randonnée. On poursuit notre montée jusqu’à une superbe forêt de hêtres d’altitude, puis ce sont les chaumes. Nous sommes sur le massif du Rossberg qui s’étale sur environ 800 ha.

A notre droite, la vallée de la Thur (nom de la rivière qui y passe 53,3km, dont le débit est régulé par le barrage de Kruth-Wildenstein). On voit le barrage,  Kruth, Oderen et son église sur  le piton rocheux,  l’aire d’atterrissage des parapentistes qui décollent  du Trehkopf….

On continue jusqu’au refuge Rossberg-Waldmatt, et là, c’est grandiose, les alpes suisses au fond à l’horizon, d’une netteté, tout le monde prend des photos. Un beau cadeau.

On dépasse le ski club de Mulhouse, direction Le Vogelstein. D’abord petite halte pour déjeuner à l’ombre sous la hêtraie. Puis, on arrive sur le fameux rocher. La vallée de la Doller devant nous, les deux ballons au loin : d’Alsace et de Servance, la réserve naturelle  de la forêt des volcans, le Fuchsfelsen et son promontoire, ainsi que le Duerenfels. Dernier point de vue incontournable sur le belvédère, et nous descendons vers le Belaker ; là des lamas se roulent dans la terre. Une pensée  pour Lily, abattue en 1944 à cet endroit à l’âge de 15 ans.  Nous atteignons Le col de Rimbach par le GR5. Et poursuivons jusqu’au col des Dreimarkstein. Pause, avant de boucler notre arrivée en 50mn. Sur le sentier, des arbres en détresse, un bon nombre de nichoirs très bien réalisés.

Merci à tous. Ce fut une très belle journée.

Une bonne  pluie pour nos forêts et la terre ferait aussi le plus grand bien .

Texte et photos Nadia 

Arrivés sur le parking, Jean-Louis nous attendait à côté de sa belle moto.

Nous démarrons notre randonnée à Soultzmatt, direction les collines sèches du Zinnkoeplé.

Le chemin à travers les vignes est longé de poêmes.

Nous randonnons à travers  le vignoble du Grand Cru d'Alsace Zinnkoepflé (68,40 ha), à la limite entre les communes de Soultzmatt et Westhalten.

 On y trouve du gewurtztraminer (22 ha), du pinot gris (7 ha), du riesling (5 ha) et un peu de muscat. L’ensemble est localisé entre 250 m et 428 m d'altitude, sur des pentes escarpées soutenues par des murets, exposées à l'est , le sud-est et au sud, bénéficiant ainsi d'un ensoleillement maximum. Le sol est calcéro-gréseux.

Ce Grand cru appelé Zinnkoepflé ou Sonnenkoepflé tire son nom de l'allemand : le mot "Sonne"  (Zinn) signifie soleil, tandis que "Kopf" désigne le sommet. Zinnkoepflé peut donc se traduire par le "sommet (Mont) du soleil".

Déjà quelques amandiers sur notre trajet. Après une petite montée assez étroite, nous dominons le village, nous profitons de la belle vue sur Soultzmatt. Au sud, juste en face de nous, le coteau du Bollenberg protège toute la vallée de Soutzmatt, appelée aussi la «vallée noble», des vents du sud-ouest.

Vu la situation gégraphique, les précipitations  sont  particulièrement faibles à cet endroit.

Arrivés au sommet, sur les collines sèches sous-vosgiennes. Plus loin, un panneau explique la formation de cette «lande» qui fait penser à la méditérannée vue la particularité de sa faune et de sa flore.

Pause goûter, puis nous poursuivons notre randonnée vers le plateau du Haberhaker, à

travers la belle forêt de Pfaffenheim, direction la table des druides.

Sentiers, et chemins très agréables à travers les bois.

On arrive à l’affleurement de grès par le haut. On descend à travers les blocs qui se sont  détachés. Trois d’entre eux  se sont positionnés en forme de table, faisant penser à un dolmen, avis que ne partage pas tout le monde. Par contre, la pierre posée par dessus est due à un aménagement et sa présence peut confirmer la thèse attribuant des origines celtes à Pfaffenheim, dont le nom pourrait aussi se traduire par «demeure des druides».

Certaines personnes  reconnaissent ce lieu comme étant une source d’énergie tellurique. D’ailleurs, nous ne sommes pas seuls sur les lieux en pleine discussion, un groupe de jeunes filles, entre autres,  se trouvant  sur place, discute également des bienfaits de cet endroit. Nous descendons à N.D. de Schauenberg pour déjeuner,  il fait un peu trop frais entre ces gros rochers. Le repas se déroule dans une super ambiance : belle vue, rires, soleil juste ce qu’il faut. Mais il faut repartir, d’en haut, on entend la messe, c’est dimanche !

On arrive à la place Désiré Renaud, séance photo sur le banc qui surplombe le beau vignoble. On continue direction le plateau du Strangenberg. Le feu de Saint-Jean est toujours là! Magnifique panorama, on voit  devant nous Westhalten. On descend au village  puis retour au parking en balcon à travers les  vignes.

Merci au groupe, ce fut une très belle journée ensemble, avec une ambiance très joyeuse.

Photos et résumé Nadia

Le club vosgien de Colmar vous invite à une séance de marche nordique, le lundi 18 juillet  2022, de 17h à 18h30, entre Herrlisheim et Niederhergheim. 

Lieu de rendez-vous :  parking devant la forêt avant Niederhergheim.

Direction Niederhergheim (sans y entrer, avant le moulin), stationner sur le parking ombragé à droite  qui est devant la forêt, après avoir dépassé le pré à votre droite. Marche nordique presque entièrement ombragée.

 Merci de vous inscrire, au plus tard, le lundi 18 juillet 2022 en fin de matinée, auprès de votre animatrice, Nadia HERTZOG au 06 33 22 69 15 ou par mail à l'adresse suivante : nadhertz@gmail.com en précisant si vous possédez des bâtons de marche nordique et si vous êtes membre du club vosgien.

Une très belle journée s’annonce, la météo est très favorable. Elle se terminera aussi très bien.

Arrivés au parking, nous empruntons un chemin herbeux à travers les mélèzes et les houx, puis, après un chemin plat, nous pénétrons dans les bois et arrivons sur le GR5 direction la fameuse Roche du Tétras. Beaucoup de poudingue.

Petite halte, le temps de se désaltérer et observer les myrtilliers. Appelés brimbelliers dans les Vosges, et la Luce dans l’ouest de la France. Aucun fruit hélas dans ce secteur, à cause du gel au printemps.

Il existe bien sûr le bluet ou bleuet, myrtille de culture importée d’Amérique du Nord au cours des années1980, avec une saveur plus douce (blueberry) .

La Brimbelle  est l’appellation vosgienne de la myrtille sauvage. Toutefois, les étymologistes hésitent encore pour déterminer l’origine de cette particularité linguistique lorraine. L’explication la plus plausible viendrait du vieux français. En effet «Bran» signifie «noire»  et «Beilles»  est le mot qui servait à définir des formes en bille. Il s’agirait donc «d’une bille noire».

Néanmoins, les deux sortes séduisent : grâce à leur peau bleue, elles contiennent des antioxydants, des minéraux (potassium, calcium, phosphore, magnésium, fer, sodium) et elles sont bourrées de vitamines (A, B, E, C).

Nous traversons ces roches, l’escalier, suivons le Gr5 tout en descente, magnifique sentier, toujours des brimbelliers mais là des fougères en plus.

Arrivés en bas, nous croisons un grand groupe, puis continuons après avoir goûté.

Direction le champ du bois et le col de Fréland. Petite montée dans la forêt, vers le col du Kalblin, toujours à travers les myrtilliers sans fruit. Après la pause déjeuner, on descend par un sentier non balisé, puis vers le col de Seelaker, le Beckenickert, et le Burgerweg, assez insolite avec hélas, à notre gauche, en contre-bas des pans de forêts dénudés, d’autres  avec des arbres morts, un spectacle catastrophique. Heureusement la relève est là, des pépinières de résineux à notre droite, sur le flan de la forêt en pente ascendante.

Initialement déclenchée en région Grand Est, l'épidémie de scolytes s'étend désormais sur la quasi-totalité des forêts d'épicéas, de la moitié nord de la France.

Ces insectes, dont la taille varie entre deux et sept millimètres, sont naturellement présents dans notre écosystème. Le typographe est le scolyte commettant les plus gros dégâts dans les forêts d’épicéas, notamment dans le Grand-Est. En creusant des galeries dans le cambium (une fine couche sous l’écorce) pour y déposer leurs œufs, les femelles condamnent des arbres par milliers.

Partout où l'épidémie frappe, une modification de l'aspect paysager est à prévoir. Au-delà des coupes exceptionnelles, le dépérissement des épicéas modifie l'aspect de la forêt. En effet, les arbres attaqués par les scolytes sont facilement identifiables par le changement de la couleur de leurs aiguilles, virant du vert au brun, puis par leur disparition totale.

En 2020, en région Grand Est, on estime à 3,3 millions de m³ de bois déclassés (ndlr, bois qui ont perdu de leur valeur, attaqués par un insecte ou pour une autre raison de dépérissement) dont 1,8 million de m³ d’épicéas. "A elle seule, cette essence représente à peu près deux tiers des volumes récoltés en bois dépérissant", témoigne Edouard Jacomet, adjoint au directeur territorial Grand Est à l’ONF.

Cette épidémie, préoccupante pour la santé des forêts et des écosystèmes concernés, inquiète les professionnels de la filière bois.

Habituellement valorisés comme bois de charpente et de menuiserie, les épicéas altérés par le scolyte sont déclassés par les scieurs, notamment en raison du développement d’un champignon qui accompagne les scolytes et qui vient bleuir le bois. Cet afflux inhabituel de bois dépérissant en France comme en Europe a entraîné une chute des prix lors des ventes de bois et une saturation du marché.

Les conditions climatiques extrêmes de ces dernières années en France ont engendré de multiples crises sanitaires en forêt. Ces dernières prennent la forme d'une importante prolifération de parasites, insectes et champignons, qui provoquent de sérieux dépérissements dans les peuplements. Ainsi, les effets conjugués depuis 2018, exceptionnellement chauds et secs, ont entraîné une prolifération de scolytes dans les pessières (forêts d'épicéa).

Une fois repéré, l’arbre infesté doit être coupé. "Il faut ensuite le débarder le plus vite possible, avant la fin du cycle larvaire pour éviter de contaminer les autres arbres", poursuit Hubert Schmuck. Le bois est ensuite amené en scierie, plongé sous l’eau ou encore écorcé de manière à ce que les larves ne puissent pas terminer leur cycle.

Il existe aussi le piégeage aux phéromones pour limiter les dégâts des femelles.

Tout l'enjeu pour les forestiers est de procéder au remplacement des peuplements d'épicéas par des essences locales et nouvelles capables de s'adapter à la spécificité des milieux et au changement climatique. "Avec ces crises, tôt ou tard l’épicéa va régresser, voire disparaître dans les parties de basse altitude."

Enfin, un projet conséquent financé par la Région et par l’Europe sur le test de nouvelles essences qu’elles soient feuillues ou résineuses : FuturForEst : "Bien que ce projet ne se déroule pas dans le cadre de la lutte contre les scolytes, mais dans celui de l'adaptation aux changements climatiques, les deux se rejoignent et se nourrissent réciproquement", déclare Hubert Schmuck.

Nous quittons cet endroit dans l’espoir de  le revoir moins impacté, et sous de meilleurs jours.

 Arrivés au parking en avance, rafraichissement oblige au Saint-Alexis, nous rentrons tôt après quelques échanges.

Merci aux randonneurs pour cette très belle journée malgré ces pauvres arbres. 

C’est pas tout, mais il faut aller voter !

Nadia

Photos Nadia

25 randonneurs participaient à cette magnifique randonnée autour du Hohneck.

Contrairement aux prévisions météo pessimistes, les 56 randonneurs ont pu profiter d’un temps très agréable et ensoleillé.
La randonnée a démarré par une montée d’environ 130 m de dénivelé d’un vallon très verdoyant, jusqu’à Heiligbrunnenhof.
Dans la descente vers le lac, nous avons aperçu le tremplin à ski, qui est un endroit important des activités sportives hivernales après le ski de fond.
Après s’être restaurés, les randonneurs ont effectué le tour du lac, puis se sont promenés dans les rues commerçantes, avant de reprendre le bus de retour.

Au Titisee, la natation, la voile et le pédalo sur le lac, les randonnées et cures thermales sont prisés par les touristes qui y trouvent aussi de nombreux hôtels et restaurants.

L’attrait du lac a commencé lors d’un campement du général romain TITUS et il fut si important qu’il lui a légué son nom.

Aujourd’hui, Titisee fait partie d’une communauté de 6 communes d’environ 11800 habitants, dont la plus ancienne est Neustadt qui a été fondée en 1250 par les princes de Fustenberger. Au 17/18ème siècle, un couvent de capucins s’y était établi. Au début du 19ème siècle, la ville a été grandement détruite par un incendie.
Grâce au tourisme et à l’horlogerie, l’économie de la région est devenue florissante.

Texte : Michel
Photos : Jean-Paul

Le Club Vosgien de Colmar vous propose une randonnée, le mercredi 13 juillet 2022, au départ du parking : rue de la Mine d’Argent au-dessus du camping « la Mine d’Argent » à Moosch.

 Itinéraire : Cascade du Bubalafels  - Abri du Blaufels  -  Le Rossberg - Le Vogelstein (point culminant) – Le Belaker (ferme auberge) - col de Rimbach – col des Dreimarkstein -  Grossgrung – camping «la Mine d’Argent» et retour parking.

     ·       Distance de la randonnée : 16,5  km

·       Dénivelé : 780 m

·       Durée de marche : 5h30 environ

·       Difficulté moyenne : 3 sur 5

·       Equipements : chaussures et bâtons de randonnée,  vêtements adaptés à la              saison.

·       Repas tiré du sac.

.       Retour à Colmar vers : 18h

·       Rendez-vous au parking du Capitaine Dreyfus à Colmar pour un départ en                  covoiturage à 8 h 30.  Vu la recrudescence de l'épidémie du covid-19, ne                  pas oublier les masques pour le covoiturage.

Guide   :   Nadia  HERTZOG   06 33 22 69 15

Onze randonneurs ont participé à cette sortie dans le secteur du Champ du Feu et du Ban de la Roche. Un  premier arrêt nous a fait découvrir la cascade de la Serva qui prend sa source dans les tourbières du Champ du feu et est un affluent de la Rothaine à la Haute-Goutte. Puis direction le Col de la Perheux qui était au Moyen-âge, le lieu de rencontre et d'extermination des sorcières.

De là, le groupe s'est rendu sur le mont St-Jean, situé à une altitude de 750m. Nous avons profité de la magnifique vue sur les sommets environnants : Climont- Chatte pendue - Grand et Petit Donon pour les plus connus.

Après la pause nous nous sommes dirigés vers Solbach, village de 105 habitants, typiquement montagnard. Cette commune, comme celle de Bellefosse, Waldersbach, Fouday, Rothau, Wildersbach et Neuviller-la-Roche, se rattache à l'histoire de la seigneurie du Ban-de-la-Roche.

Nous sommes revenus au col de la Perheux et avons entrepris la montée vers le Haut des Monts -altitude 936m- et avons rejoint le Champ du Feu après une belle et mémorable journée !

Jean-Paul